©Ryoji Iwata

Au Japon, le monde du travail est toujours régi par l’implacable modèle économique d’après-guerre qui consiste à recruter les futurs cols blancs dès la sortie de l’université. Les entreprises s’assurent ainsi une main d’oeuvre efficace qui leur jure allégeance et dévouement jusqu’en fin de carrière, en échange d’un travail garanti à vie.

Source : Les salarymen, une vie de servitude remise en question / Pen Magazine International