» Le flex office s’impose comme la nouvelle norme d’organisation du travail dans les entreprises. Sur le papier, le concept est séduisant. Mais dans la pratique, qu’en est-il ? »

Lire l’article sur le site de Courrier Cadres : Dans la jungle du flex office – Courrier cadres

Business people in a meeting

Rawpixel

 » Selon des chercheurs, les comportements des individus les plus incompétents sont ceux qui contribuent le plus à l’instauration d’un climat toxique.  »

Lire sur le site Web de France Info : L’incompétence professionnelle et sociale, première cause d’une mauvaise ambiance de travail

Woman Sitting in Front of Macbook

Une récente étude d’ADP, réalisée au niveau européen, montre qu’il existe encore beaucoup de tabous autour du mal-être au travail. Les Français ne sont pas les plus stressés au quotidien mais figurent tout de même à la troisième place du classement.

Source : Les plus stressés au travail ne sont pas ceux que l’on croit – Courrier cadres

People Sitting on Chairs Beside their Desks in an office

PEXEL – Cadeau Maestro

Avec l’arrivée des moyens de communication numériques, le lieu de travail s’est transformé : il est désormais possible de travailler de la maison ou dans les transports, voire de n’importe quel endroit. Parallèlement à cela, les bons vieux bureaux ont eux aussi connu une mutation, avec l’apparition des espaces à aire ouverte.

Source : Le bureau, ce lieu d’« interruption permanente » | Désautels le dimanche

Woman Riding on Bicycle

PEXEL, Brett Sayles

A l’occasion de la mobilisation nationale pour l’emploi et les transitions lundi, le Premier ministre souhaite inciter les employeurs à mieux prendre en charge les mobilités quotidiennes.

Lire sur le site de JDD : Le gouvernement compte inciter les entreprises à financer les trajets domicile-travail*

Four Person's High-fiving Each Others

RawPixel.com, Pexel

52% des salariés se disent anxieux au travail. L’Institut de veille sanitaire a estimé que le burn-out concerne environ 7 % des 480 000 salariés en souffrance psychologique liée au travail, alors que les \ »hapiness manager\ » apparaissent dans les entreprises pour nous apporter du bien être et du bonheur au travail.

Lire l’article sure le site France Inter : Travailler c’est trop dur ?

Alors que va s’ouvrir dans quelques semaines, le procès de notre ancien Président Directeur Général et de ses
anciens collaborateurs directs sur des pratiques de harcèlement moral institutionnel, nous assistons
aujourd’hui à un retour de pratiques que nous voulions ne plus jamais rencontrer dans le groupe Orange…
Pour s’en rendre compte, il suffit de voir l’état du dialogue social et le nombre de décisions unilatérales prises
par la direction.

Cette absence violente de dialogue social se traduit par des non-dits et des pratiques déloyales d’un autre âge.
Nous assistons en 2019 à une délocalisation effective des emplois : qui n’a pas entendu son manager se
plaindre qu’il ne pouvait plus recruter ?

Après d’incessantes réorganisations et des coupes sombres dans les effectifs, certaines activités sont envoyées
dans des équipes mutualisées situées dans des contrées ensoleillées lointaines. Ceci avec le sourire et avec la
bienveillance de tous ceux qui choisissent ou sont contraints d’obéir à la Direction Générale du groupe.

Par exemple, on note une intensification des transferts des équipes de CSO vers l’Ile Maurice, (M2M, service
client mobile, gestion, facturation, Responsables d’Affaires Client) et aujourd’hui ce sont les activités Grands
Comptes qui sont concernées pour les comptes sans gouvernance (Responsables Facturation, Account Service
Manager …). Des pans entiers de l’activité sont ainsi transférés.
Il s’agit bien de véritables délocalisations où Orange va pouvoir exploiter de la main d’oeuvre à moindre coût au
détriment de la qualité du travail, et des attentes de nos clients.

Cette pratique très largement en place dans des entités semi-internationales au sein du groupe Orange a déjà
participé largement à la perte des emplois dans l’hexagone et dans les Départements Ultra-Marins.
Cette situation s’intensifie sur CSO en gagnant peu à peu les activités DGC !
Nous assistons à une « Ubérisation », des places de bureaux, des jobs, des revenus, qui ne profite qu’à un très
petit nombre. « L’ubérisation, un concept assez flou où tout le monde peut devenir son propre patron et dont
l’espoir de gain d’hier conduit à la précarité pour tous » (digital-society-forum.orange.com/ Claire Richard)

Un constat de l’élargissement du fossé des inégalités.

Ne nous trompons pas … nous en sommes tous responsables : entre ceux qui disent que cela n’a rien à voir et
ceux qui disent que nos décideurs travaillent malgré tout pour la survie du groupe, nous dénonçons le fait que
pour certains, l’intérêt collectif n’existe pas, seuls comptent leurs propres gains…

Soyons vigilants, nous vivons la fin d’une période où il se peut que sous prétexte de sauver l’entreprise Orange,
de la rendre plus compétitive, nous observions le retour d’une période sombre que nous avions déjà connue.
Attention, car forte de son expérience dans le domaine, la Direction risque de prendre des moyens coercitifs
beaucoup plus discrets…

Son N’Guyen et Pierre Ménicot

Flat Screen Monitor Displays Multicolored Texts

Pexel License / Lorenzo

 » IDEE. Quelle est l’économie de la production des données numériques et du fonctionnement des algorithmes ? Comment les êtres humains s’en emparent-ils ? Pour en savoir plus, passage par la sociologie. Par Christophe Prieur, Institut Mines-Télécom (IMT) »

Lire l’article sur le site de la Tribune : Des algorithmes et des Hommes

Women Sitting on Sofa Holding Laptops

Pexel License / Christina Morillo

 » CHRONIQUE. Sur un canapé, dans un TGV, à la cantine : à force de travailler ici ou ailleurs, il ne peut en réalité aller nulle part, car il est toujours, partout, au bureau.  »

Lire l’article sur le site du Monde : Le nouveau salarié, un « Touareg du tertiaire » en perpétuelle transhumance